vendredi 19 août 2011

Le beau n'a pas de valeur narrative.



















Que vive, et pour longtemps, le consensuel.
Autoroute pour Musso, Gavalda, etc.
Faites-nous des kilos de Blacksad, on en redemande.

6 commentaires:

  1. Moi j'aime bien le beau quand il permet le viol de l'esprit du lecteur : sous couvert de 'grand public', mignon comme un chaton ou sensuel comme une bombasse, après avoir bien ferré la proie, blam, le consensuel est abattu sans sommation (tiens, "Happy Tree Friends", bon exemple). Mais ça arrive pas souvent.

    Légère digression : justement, pour moi les meilleurs 'méchants' sont ceux auxquels on s'attache le plus, les plus séduisants au départ, à qui on pardonne les pires incartades, avant le choc brutal du chaton de nos illusions écrasé sous les pneus du 4x4 de la réalité. Et j'aime quand, après s'être tapé un petit syndrome de Stockholm, on se demande si on est pas nous-même un peu psychopathe.

    Allez, un peu de poésie, pour moi il faut utiliser le beau comme une rose : elle attire, mais une fois qu'on veut la chopper, oh, révélation : putain ça pique.

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  2. Benben> happy tree friend, c'est sympa mais pas spécialement subversif, quand même.

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